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Jérôme Piques :

Courriel : piques.darrozes@gmail.com

Téléphone : 06-33-34-24-80

vendredi 9 juin 2017

Législatives 2017. Fin de campagne 8ème circonscrition Haute Garonne


Remerciements


La fin de la campagne des élections législatives de 2017 s’approche.
À moins d’un miracle nous ne serons pas au deuxième tour, si deuxième tour il y a.

Dominique Darrozes et moi-même, avons tout fait pendant ce mois de campagne intense pour être présents sur le terrain afin d’être au maximum à votre écoute.

Grâce à vos témoignages nous avons beaucoup appris et tiendrons compte de vos attentes et plus largement de celles de la circonscription.

Même si nous ne sommes pas élus nous sommes et nous serons à votre écoute et à votre disposition dans l’avenir. 

Jérôme Piques, candidat dans la 8ème circonscription de Haute Garonne.

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La tota fin dera campanha deras eleccions legislativas de 2017 que s’avesina.
En dehòra de quauque miracle seram pas presents entà era dusau votacion, se n’i a ua.

La Domenja Darròsas e jo, qu’am tot hèit tot aqueth mes de campanha intensa ta ester presents suu terrenh pr’amor d’ester lo mèi possible ara vòstra escota.

Gracias aus vòstres testimoniatges qu’am apres hèra e tenguèram compte de las vòstras espèras e mei largament d’aqueras de la circonscripcion.

Quitament s’èm pas elegits qu’èm e que seram ara vòstra escota e ara vòstra dispausicion entà l’avénguer. 

Jiròni Picas

Courriel / Corric : piques.darrozes@gmail.com
Téléphone / Telefòne : 06-33-34-24-80

 
Remerciements de Jérôme Piques et Dominique Darrozes
Jérôme Piques et Dominique Darrozes

jeudi 8 juin 2017

Législatives 2017, Jérôme Piques répond à plusieurs questionnaires


C'est avec grand plaisir que j'ai répondu à plusieurs questionnaires

Le minimum pour un candidat aux élections législatives est d'écouter et de prendre en compte les questionnements des citoyens et citoyennes.
J'ai donc répondu en particulier à deux associations, une sur la défense des langues régionales et une  sur la promotion du vélo.
Pour lire mes réponses à #2017OC
Pour lire mes réponses à Parlons Vélo !

Réponsses à l'association Parlons Vélo !
Parlons Vélo !

mardi 6 juin 2017

Oui, il y a un candidat P.N.O aux législatives en Haute Garonne

ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DES 11 ET 18 JUIN 2017 - Région Occitanie

Département de la Haute-Garonne

8ème circonscription Comminges-Savès


Jérôme PIQUES (PNO - Bastir Occitània)
Suppléante : Dominique DARROZES (Bastir Occitània)

Candidats présentés par le PARTI DE LA NATION OCCITANE (PNO)
soutenus par BASTIR OCCITANIE


Madame, Mademoiselle, Monsieur

Les 11 et 18 juin 2017, vous élirez à l'Assemblée Nationale le représentant du Comminges et du Savès.

Pour nous Gascons d'origine ou d'adoption, ce sera l'occasion de faire entendre notre voix et de voter selon nos propres intérêts économiques, sociaux et culturels.

Nos intérêts ? Parlons-en !

Ils ont toujours été bradés par des partis parisiens dirigés par des technocrates et des énarques. "Tout diriger depuis Paris", telle pourrait être leur devise. La France reste le pays d'Europe occidentale le plus centralisé. Le budget de la région Occitanie n'est pas plus important que celui du département de la Haute-Garonne. La quasi-totalité du budget culturel de l'État est dépensé en Île-de France. On développe les lignes TGV à partir des gares Parisiennes et on ferme nos lignes régionales. Nous attendons toujours notre TGV Grand Sud reliant Bordeaux à Nice. Les exemples pourraient être multipliés à l'infini.

Aujourd'hui, pour prendre notre destin en main, nous avons besoin d'une nouvelle politique, plus proche du citoyen et de ses problèmes.

NOUS VOULONS DÉCIDER DE NOTRE AVENIR ! / VOLÈM DECIDIR DE NÒSTRE AVENIR !

L'impôt et l'épargne de toutes les régions occitanes de la République Française (Occitanie, Nouvelle Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Auvergne-Drôme-Ardèche) doivent être majoritairement réinvestis dans les dites régions Occitanes.

Renforçons-donc la régionalisation pour faire face à la situation que nous subissons : toujours plus de chômage, des problèmes de transports, une agriculture sacrifiée, la désertification des campagnes quand, dans un même temps, les grandes agglomérations s'asphyxient, les acquis sociaux sont menacés, la remise en cause de notre façon de vivre, l'exil des jeunes, notre culture Occitane (Gasconne) ignorée, quand elle n'est pas combattue.

Nos régions occitanes et notre circonscription Comminges-Savès méritent d'être reconnues. Outre le développement indispensable du pouvoir régional, il faut améliorer la politique éducative et de formation en répondant davantage aux besoins réels du marché de l'emploi régional. Il faut soutenir et favoriser la création d'entreprises TPE, PME en zone rurale, qui sont les véritables créateurs d'emplois. 

Pour cela, il faudrait voter des Lois efficaces et appliquées aidant les créations d'emploi dans les zones défavorisées. Halte au saupoudrage clientéliste ! 

Il faudrait aussi des Lois pour un meilleur aménagement du territoire, favorisant les transports publics, les infrastructures, les moyens modernes de communication comme la fibre optique afin de pouvoir travailler "au país", sans oublier de développer le tourisme.

Il faut renforcer l'axe Bordeaux-Toulouse-Montpellier pour permettre le développement d'un carrefour économique entre monde atlantique et monde méditerranéen, cet atout exceptionnel ne doit pas être bradé par les personnels politique de Bordeaux et de Toulouse, dont les querelles partisanes n'ont aucun intérêt !

La construction, l'habitat, l'organisation de la ville, le choix des modes de transport des personnes et des marchandises, la réalisation des grands équipements doivent se faire au plus près des citoyens. Le tissu associatif des banlieues doit notamment être un partenaire privilégié pour résoudre les problèmes de nos cités. Il faut agir pour le respect et la préservation de notre environnement (gorges de la Save...).

Pour éviter l'instauration d'une société à deux vitesses, la défense des acquis sociaux (sécurité sociale, paiement des retraites etc.) et la solidarité doivent être des priorités d'une politique sociale ambitieuse. Celle-ci passe par le maintien des services publics existants (hôpitaux, maternité, bureaux de poste), autant de mesures pour lutter contre la désertification et créer du lien social.

Nos régions occitanes, aux traditions riches et vivantes, sont riches de leur histoire et de leur identité. Notre langue occitane (gascon) enseignée dans le monde entier et officielle dans notre territoire voisin du Val d'Aran, nos fêtes, la chasse, la pêche, le rugby, notre cuisine font partie de notre univers quotidien et, si c'est pour nous un atout touristique indéniable, ce n'est en rien superficiel : notre patrimoine et notre culture sont ancrés au fond de nous-mêmes, ils ne sont pas là seulement pour attirer les touristes. Que seraient les régions occitanes sans eux ? des régions sans âmes façonnées par des technocrates Parisiens.

C'est pourquoi, sans passéisme et tourné vers l'avenir, nous devons donner à notre culture les moyens de son maintien et de son développement.

Notre culture occitane ? un atout pour l'avenir ! / Nòstra cultura occitana ? un atot entà l'avenir !

Face aux partis de droite ou de gauche déchirés par des querelles internes relevant plus d'ambitions personnelles et d'enjeux Parisiens, en votant Occitan, vous votez intelligent, vous soutenez sans chauvinisme aucun une politique novatrice et moderne qui prend en considération les problématiques locales spécifiques. Vous porterez votre suffrage sur des candidats qui n'auront de comptes à rendre qu'à leurs électeurs et non à des états-majors Parisiens coupés de nos réalités.

Jérôme PIQUES
remplaçante : Dominique DARROZES

Candidats présentés par le PARTI DE LA NATION OCCITANE (P.N.O.) avec le soutien du collectif BASTIR OCCITANIE

Candidats occitans 8ème circonscription Haute Garonne
Jérôme Piques et Dominique Darrozes

lundi 5 juin 2017

"Paratge e Convivéncia" ou promouvoir le "vivre ensemble"

"Paratge e Convivéncia"

"Paratge e Convivéncia", je sais d'où je viens, je sais qui je suis, et je suis curieux de te connaitre, de savoir ce que tu peux m'apporter. Et réciproquement. 


   La promotion du "vivre ensemble" par nos institutions dans le contexte actuel du cosmopolitisme urbain de nos sociétés occidentales est louable. Nécessaire même. L'Occitanie prouve que ledit modèle est viable. En effet, de par sa position géographique, carrefour migratoire au cœur de l'Europe Occidentale, l'Occitanie est une terre traditionnelle d'accueil de toutes les diasporas et ce, depuis les temps les plus reculés de l'Humanité : "Paratge e Convivéncia", telle est notre devise occitane depuis le Moyen Âge, une devise dont le sens est à rapprocher du "Égalité et Fraternité" repris beaucoup plus récemment par les institutions Françaises (Liberté-Égalité-Fraternité). 

   Ceci étant, un paramètre est omis par nos gouvernants d'Europe Occidentale : l'accueil des diasporas sur un territoire donné s'accompagne d'une parfaite intégration à condition que ledit territoire possède une culture forte, un socle identitaire solide. Dans ce contexte et sous condition de tolérance, de respect mutuel, l'apport migratoire devient alors une richesse supplémentaire, le "vivre ensemble", le partage et la convivialité ("Paratge e Convivéncia") prend alors ici tout son sens. 

   On constate aujourd'hui que, pour une raison démographique facile à comprendre, le cosmopolitisme supplante finalement l'identité indigène dans la plupart des grandes villes ; en République Française comme au Royaume Uni, l'identité indigène tend donc à disparaître exactement pour la même raison dans les mégapoles de ces deux États d'Europe Occidentale. C'est un fait, un simple constat. Il semblerait même qu'il s'agisse manifestement d'une évolution naturelle de la société Humaine urbaine qui fait que toutes les grandes villes du monde finissent par se ressembler. 

   Par contre, et c'est là où je veux en venir, en zone rurale où normalement la démographie n'altère pas les identités indigènes, ce sont les institutions elles-mêmes qui depuis deux siècles travaillent à l'éradication méthodique desdites identité autochtone ! c'est le cas au Royaume Uni dont les institutions encouragent depuis très longtemps une domination économique, sociale et culturelle Anglaise sur la nation Écossaise, sur l'Irlande et sur le Pays de Galles. C'est même beaucoup plus direct et assumé en République Française avec le modèle "jacobin" du rapport dominant-dominé Paris-Province sur l'Occitanie, la Bretagne et les zones frontalières périphériques (Corse, Alsace, Pays Basque, Flandre, Catalogne). 

   Pas la peine de préciser les motivations géopolitiques de cette politique d'éradication identitaire gouvernementale, qu'elle soit anglophile pour le Royaume Uni ou francophile pour la République Française. Le problème, c'est que la nature a horreur du vide : lorsque il n'y a plus d'identité indigène de référence, une identité de substitution prend sa place. On a bien compris que la finalité des gouvernants Anglais et Français était de substituer aux identités indigènes d'Écosse, d'Irlande, d'Occitanie ou de Bretagne leur propre identité comme référence culturelle exclusive. C'est une stratégie d'acculturation d'État qui a été plutôt efficace de la fin du XIXème siècle et le milieu du XXème. En revanche, on constate en ce début de XXIème siècle que les politiques gouvernementales d'éradication des fondements identitaires millénaires qui constituaient la richesse culturelle de l'Europe Occidentale conjugué avec une immigration de masse est un terreau favorable au communautarisme. Partant de là, de tristes sires tirent leur épingle du jeu et se servent de manière abjecte du "rejet de l'autre" pour exister politiquement. Voilà où nous en sommes... 

   Dès la fin du XIXème siècle, on a pu constater ici les premiers résultats de l'efficace politique d'acculturation Française : les habitants d'Occitanie (Auvergne, Dauphiné, Aquitaine et Provence compris), devenus orphelins de leur propre culture, ont adopté alors l'identité de substitution proposée lors du formatage scolaire ; un autre paramètre à prendre en compte : les institutions gouvernementales Françaises ont aussi sans doute joué sur le conflit des générations en opposant la "ringardise" de la culture d'òc ancrée dans un "passé médiéval poussiéreux" et inexistant sur le plan géopolitique à la dynamique et au progressisme du modèle Français qui à cette époque était à son apogée, la France (comme l'Angleterre d'ailleurs) étant à la tête d'un immense Empire colonial ; c'est ainsi que sous la IIIème République beaucoup d'Occitans ont fait de la surenchère dans l'adoption du séduisant modèle institutionnel républicain "jacobin" Français. Un exemple éloquent : bien que l'Occitanie soit à ce moment-là déjà moins peuplée que la moitié Nord de l'Hexagone, la majorité des présidents de la IIIème République Française en étaient originaires : Adolphe Thiers (Marseille), Marie-François Sadi Carnot (Limoges), Émile Loubet (Marsanne), Armand Fallières (Mézin), Gaston Doumergue (Aigues-Vives), Paul Doumer (Aurillac), six présidents de la IIIème République Française sont nés en Pays d'Òc ! Quant au patriotisme des Méridionaux "tombés pour la France" au moment de la Première Guerre Mondiale, il n'est plus à prouver. 

   Pourtant, durant la seconde moitié du XXème siècle, le modèle "jacobin" Français commence à montrer des signes de faiblesse, avec une évolution des mentalités : les générations d'après-guerre ont commencé à se tourner vers une nouvelle identité de substitution en adoptant pour partie les codes de la sous-culture Américaine. Il est plausible que cette évolution sociétale soit également liée au conflit des générations, les générations d'après-guerre finalement fantasmant sur le modèle Américain par rejet de celui francophile-chauvin (et gaulliste à ce moment-là) de leurs parents, modèle finalement un peu ringardisé à son tour (la roue tourne !). Là encore, ce phénomène social a été particulièrement flagrant en Occitanie, et même visible encore en ce début de XXIème siècle : il est éloquent de constater que les chanteurs populaires vivant aujourd'hui en Occitanie proposent dans la majorité des cas des compositions en anglais, la francophonie étant devenu l'apanage soit des artistes de la moitié Nord de l'Hexagone, soit, phénomène d'acculturation également intéressant, celui d'artistes urbains issus de l'immigration. 

   Aujourd'hui, le "vide culturel" de notre société Occitane à peine compensé par le fait que nous ayons (seulement) en commun le français standard comme langue véhiculaire d'usage fait le jeu de l'adoption par une partie de notre jeunesse en mal de repères d'une identité qui au fond (ils le savent bien) n'est pas la leur, mais qui est en revanche très concrète, avec des "valeurs fortes", une histoire bien réelle, et qui surtout est à la fois "exotique" et "virile", qui plus est d'accès facile avec les réseaux sociaux... D'autant plus accessible pour peu qu'il y ait implanté à proximité un "noyau communautaire" péri-urbain. 

   Lorsque il n'y a plus d'identité indigène de référence, une identité de substitution prend sa place. Du coup, la récupération de notre véritable histoire, de notre culture Occitane, Gasconne et Commingeoise à tous les échelons, à défaut d'être une panacée pourrait être au moins ici un vaccin contre le communautarisme : on ne se cherche pas une communauté d'adoption à partir du moment où l'on assume ses origines. Et le fait de se connaitre soi même évidemment n'empêche pas de s'intéresser aux autres. "Paratge e Convivéncia", je sais d'où je viens, je sais qui je suis, et je suis curieux de te connaitre, de savoir ce que tu peux m'apporter. Et réciproquement. 

   L'ouverture et l'échange sont enrichissants. Le repli communautariste, lui, est la plaie de l'Humanité. L'actualité malheureusement le prouve.

Jérôme PIQUES le 05/06/2017

"Paratge e Convivéncia" slogan occitan
Per la lenga occitana !

dimanche 4 juin 2017

Jérôme Piques et la proportionnelle

 Que pensez vous du système électoral actuel ?

Cette question m'a été posée plusieurs fois lors de mes rencontres avec mes électrices et électeurs, voici donc ce que j'en pense de façon assez rapide :
    Le système électoral français empêche la représentation à l’assemblée nationale comme dans les assemblées territoriales des « petits » partis et mouvements politiques. Il est donc antidémocratique.

Je propose que le scrutin proportionnel remplace le scrutin majoritaire aux élections législatives et territoriales. 

    En effet, la proportionnelle assure une meilleure représentation possible des différentes opinions des électrices et électeurs et permettrait à un parti comme le mien, le Parti de la Nation Occitane, d’avoir des élus.
    Les partisans du scrutin majoritaire actuel nous disent qu’une majorité de gouvernement serait difficile à trouver avec le scrutin proportionnel intégral. Comme je ne suis pas pour le "tout ou rien" il suffirait simplement d'instaurer une prime majoritaire, c'est à dire donner une certaine partie des sièges (entre 25 et 30%) uniquement au parti ou mouvement ayant obtenu le plus de voix et ainsi dégager une majorité viable.
    Une proportionnelle modérée ferait entrer dans les assemblées des élus régionalistes ou autonomistes occitans, bretons, alsaciens, basques, corses, catalans et flamands. La démocratie et les citoyens y auraient tout à gagner.
Jérôme Piques, candidat dans la 8ème circonscription de Haute Garonne.

Sur le marché à Boulogne-sur-Gesse
à Boulogne-sur-Gesse

samedi 3 juin 2017

Jérôme Piques apporte son soutien à la manifestation de Montmaurin


Manifestation dimanche 4 juin contre la carrière de Montmaurin

Je suis désolé mais demain je ne pourrai pas être à vos côtés car j'avais des rendez-vous par ailleurs. Je tiens à vous réaffirmer que je suis de tout cœur avec vous et que je vous soutien dans votre juste combat.
Jérôme Piques
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Venez nombreux/nombreuses  manifester à 11 h sur le site du Pic Mar à Montmaurin (sur la RD 69 C), contre le projet de carrière.

« Aujourd'hui, le danger de voir disparaître notre patrimoine archéologique et écologique est imminent puisque le carrier vient d'envoyer des engins de défrichage sur le terrain. Selon d'autres sources, il s'agirait de la mise en place de la phase 1 de la carrière et non d'un défrichage. Un groupe d'habitant.esde Montmaurin tente de s'opposer à l'entrée des engins sur le site sous le regard d'un huissier. »


Plus d'informations sur ce LIEN

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 Journée bien remplie ce samedi 3 juin. 

Ce matin j'étais avec Dominique Darrozes (ma suppléante) sur le marché de L'Isla de Haut (L'Isle-en-Dodon), excellent accueil, il faut dire que "je jouais à domicile !". Dans l'après-midi un crochet à la Savés Hèiro (la foire du Savès) à Rieumes, puis une virée à Poucharramet... Merci encore pour ces rencontres chaleureuses.

 

sur le marché de L'Isle-en-Dodon
Dominique Darrozes et Jérôme Piques